mardi, septembre 29, 2015

Course des Terrils 2015

Course des terrils 2015

Récit du 25 km de la Course des Terrils le 27 septembre 2015 à Raismes, un trail rude et populaire avec 4 montées de terrils sur un site inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. 10 courses au total, dont une nocturne.

Détails de la course

Inscription : 

Inscription par courrier avant le 12 septembre, en ligne avant le 22 septembre 2015.
Site web : http://www.coursedesterrils.org/

Dossard :

À retirer 2 jours avant ou le jour même.
En cadeau : un tee shirt Kalenji

Détails :

Libellé Type Commune Distance Dénivelé Tarif
Course des Terrils Trail Raismes 9-16-25-59km ? 8-10-12-25€
Runner Chrono 2015
Lui 25km 2h35

Parcours 25km :


Une seule boucle à travers les terrils.
Label FFA pour le 59km
Animations, jeux gonflables, garderie

Résumé de "La sauvage" Course des Terrils 2015

Lui - 25km

Météo : soleil
Mon équipement : montre avec chrono.

Tous le monde me parlait de cette course alors je me suis dis "allons-y".
Encore un dimanche sport, levé de bonne heure, un petit dej plutôt léger : yaourt, café, smoothie et un prince. Le coco plein, ma tenue de guerrier revêtue, en voiture direction Raismes !
Je ne connais pas ce secteur, j'avais reçu un mail qui me signalait de partir un peu en avance à cause des déviations sur les grands axes, mais finalement la circulation est fluide.
Arrivée à Raismes des panneaux "Course de Terrils" sont présents dès la sortie d'autoroute. J'arrive au cœur de la ville, je m'aperçois qu'il y a beaucoup de voitures. Certains coureurs ont choisi de se stationner très loin du départ, j'en vois même stationnés sur le rond point, je me dis que ça va être galère de trouver une place. J'aperçois des bénévoles, je leur demande où je peux me stationner et il me dirige vers un parking. Celui-ci est plein, ils ont donc réquisitionné un terrain pour que les véhicules stationnent tranquillement, sans gêner les riverains et pas très loin du départ.
L'ambiance est là, les gens encouragent les coureurs à l'arrivée au Château de la princesse.
Le départ se fait à l'arrière du château dans un superbe parc verdoyant.

11h le coup de feu retentit ! Le début du parcours est plat sur 2km puis vient le premier terril. Le parcours est relativement sec, le soleil est présent. Dès mon arrivée sur le terril j'entends de la musique, un orchestre met l'ambiance. Je m'aperçois que beaucoup de coureurs le montent à quatre pattes. Je me dis "ça commence fort". Le parcours est magnifique et technique avec des montées, des descentes et des relances. Elle est belle notre région minière ! J'admire le paysage et suis content de participer rien que pour voir ça. Je me sens super bien malgré le dénivelé, et j'arrive à récupérer dans les descentes. Je suis hyper a l'aise dans celles-ci, je dévale et double énormément de coureurs qui jouent la sécurité ou qui n'osent pas. Moi j'adore !
Mon rythme est bon jusqu'au 19°km, ensuite vient la partie moi intéressante pour ma part, les longs plats et faux plats en sous-bois. Au bout d'1h40 j'ai un coup de mou, je me fais doubler à tour de rôle, je marche, je cours. Je regarde devant moi et je vois un ligne droite interminable, je poursuis ma course sur des pavés au milieu d'une foret de châtaignes. Le chemin glisse et fait mal aux pieds et aux jambes. Je regarde mon temps, je peux voir que mon allure a considérablement baissé et j'ai plus envie. Mon objectif de faire entre 2h15 et 2h30 n'est plus possible, alors je termine sans motivation. J'ai vite baissé les bras, j'avais pas les jambes ni la tête d'un winner et je regrette d'avoir tant marché. Il ne me reste que 3km mais la dernière difficulté arrive.
Une belle montée avec une corde, je me remotive, à croire que je n'aime pas la facilité lol. Qui dit montée dit descente. Et là je sors mon épingle du jeu, je redouble quelques coureurs frileux. Je dévale un peu trop vite, du coup je marche 1km avant l'arrivée, blazé ! Je termine ma course en traversant un pont, les spectateurs m'encouragent "bravo c'est la fin, allé allé ". J'accélère jusqu'au bout pour finir ma course en 2h35 après 4 belles montées de terril et un parcours très technique. Je suis quand même déçu de moi car j'ai vite baissé les bras. J'ai trouvé le parcours super, sauf la fin. Cette course et dans mon top trail et j'y retournerai l'an prochain, mais cette fois-ci sur le 59km

Lui

Photos

Course des terrils 2015

dimanche, septembre 27, 2015

Avoir le gout de l'effort

Running effort

A ma fille...

Parfois il est dur de se motiver pour partir courir, s'entrainer, continuer une course, bref pour faire un effort.
Actuellement ma fille en est à ce stade, que se soit en course à pied où à l'école.
Elle n'a plus le gout de l'effort, elle se laisse envahir par ses pensées négatives : je suis nul, j'ai mal, je n'y arriverai pas, c'est trop dure...

Personne n'aime l'effort

En effet, à part si on est maso personne n'aime souffrir !
Il est donc le fruit d'un apprentissage. Mais pourquoi apprendre à faire un effort ? Est-ce que tout le monde peut être fort mentalement ?
He bien si vous marchez par exemple, vous avez une force mentale ! En effet, lorsque vous avez appris à marcher, vous n'y êtes pas arrivés du premier coup, vous vous êtes lâchés, vous êtes tombés, vous avez surement pleuré. Et pourtant vous avez persévéré pour atteindre votre but, personne ne vous a forcé à le faire. Vous vous êtes entrainés physiquement et mentalement.
Nous sommes donc tous capable d'être fort mentalement.

Il y a 2 efforts

En tant qu'être humain il est important de prendre soin de son corps.
Pour réussir une course il faut donc s'entrainer physiquement et mentalement.
  • Physique : entrainement, diététique (bien manger, s'hydrater) pour augmenter sa puissance, sa vitesse et son endurance
  • Mental : exercices, concentration pour augmenter sa positive attitude et sa persévérance
L'esprit a une puissante influence sur le corps : si l'esprit veut, le corps peut.
Bien sur, il faut garder des objectifs difficiles mais réalistes. Inutile de viser le podium si vous n'avez pas la condition physique, même si vous avez la plus grande volonté du monde lol.
Mais la volonté mentale est un muscle qui a besoin d'exercices comme ceux du corps.

Le combat : votre pire ennemi c'est vous !

Lorsque notre esprit est démotivé, notre force mentale lâche, il faut combattre et ne pas subir.
La course à pied est un dépassement de soi et une épreuve face à soi.

L'attaque de front

Tout sportif a déjà eu des pensées négatives : "je ne peux pas y arriver, c'est trop dur, j'en peux plus, j'ai encore 2km à faire..."
Le problème c'est que le corps ressent ce que l'esprit pense, du coup l'état physique s'empire.
Dans ces moments là il faut donc les remplacer par des positives :" je peux y arriver, je vais y arriver, je n'ai plus que 2km à faire, j'ai fait le plus dur..."
Le simple fait de sourire pendant l'effort peut entrainer des pensées positives, de la motivation et donc un supplément d’énergie.

L'attaque par distraction

Parfois plus facile à dire qu'à faire, donc il faut tromper notre ennemi en le distrayant avec : la musique, du calcul mental (compter ses pas par exemple), admirer le paysage, parler avec un autre coureur...

La fuite intérieure

Parfois pendant une course je rêve, je m'imagine entrain de passer la ligne d'arrivée...
Je me perds souvent dans mes pensées, c'est un peu le seul moment ou l'on peut se déconnecter du monde.
Je deviens un robot qui court mécaniquement, et donc qui ne ressent plus de douleurs ni d'émotions.

Plus le combat est dure, plus belle est la victoire

La douleur fait partie de l'effort

Le fait de surmonter les difficultés mentales et physiques et de se surpasser nous rend plus fort, et les succès n'en sont que plus beaux.
Plus l'objectif est difficile, plus on s'investit et plus on éprouve du plaisir quand on le réalise.
L'effort permet la confiance en soi et d'augmenter l'estime de soi.
Il nous permet de connaitre nos limites, de savoir de quoi on est capable, de gérer la pression.

Se donner du mal en pensant à plus tard

Se motiver durant l'effort suppose que l'on imagine le résultat futur, le plaisir que l'on éprouvera après avoir réussit. Il faut donc se donner des but précis et quantifiables, des objectifs réalistes.

L'échec

L'échec nous fait réagir et aussi progresser. Il faut supporter d'échouer pour pouvoir ensuite réussir.
Il faut savoir se remettre en question, savoir pourquoi on a échoué.
Bref il faut apprendre durant un combat à encaisser les coups, car c'est inévitable, il y en aura.

Bref ma fille arrête de rouler à 20km/h avec ta Ferrari !
Tu as un objectif, entraine toi physiquement et mentalement pour y arriver, tu verras le plaisir que tu ressentiras quand tu y arriveras. Que se soit dans ta vie sportive, personnelle ou professionnelle.
Et moi je te promets d'être toujours là pour t'encourager et te motiver que se soit dans les réussites ou les échecs. Je t'aime

Elle


jeudi, septembre 24, 2015

Syndrome de l'essuie glace

Syndrome de l'essuie glace TFL

Arrêter pour mieux revenir

Lui - Les 88km ont laissé des traces

Après avoir augmenté la dose d'entraînements pour ma préparation au Trail des Tranchées mon corps n'a pas apprécié, même si ma tête a kiffé. J'étais plutôt bien à la fin de ma course, mal au jambes mais normal vu la distance. Le lendemain des 88km les jambes vont mieux, un peu mal dans les genoux mais ça va. Nous sommes le 15 mars, un peu de repos s'impose donc pour récupérer.

Après une semaine de repos, je rechausse les baskets pour un petit footing tranquillou avec ma chérie. Je m’aperçois très vite que mes jambes n'ont pas assez de repos car 5mn plus tard une douleur apparaît dans mon genou droit. Je le fait remarquer à ma femme mais je continue, à plusieurs reprises je dois marcher car j'ai de vives douleurs dans le genou (comme une aiguille) avec une crampe par dessus. Bref j'ai souffert et je suis dégouté après cette course.

Je décide donc de me mettre au repos une semaine de plus avant les Foulées du Bruaysis. J'ai toujours mal le jour de la course mais je décide malgré tout de faire le 5km avec ma femme pour la booster. Je cours sans grand plaisir car la douleur est là, je termine cette course et enchaîne avec un 10 km solo, pour finir par un 3km avec ma fille. J'ai mal mais je me dis que c'est normal, les genoux ont morflé au 88km.

Je me dis que cela ira mieux dans quelques jours alors je continue à courir et m’entraîner malgré cette douleur. Une semaine après, comme j'ai mal, je décide de faire une petite course de 5km Les Chtites Foulées à Billy Berclau avec l'objectif de faire un chrono, je cours bien, j'ai la forme mais mon genou souffre en silence. Je me cale dans les baskets d'un gars qui a pour objectif de faire un peu moins de 20mn, je ressens une douleur dès le départ mais je me dis 5 km c’est court, alors je donne tout. Je n'arrive pas à augmenter la vitesse pour finir en sprint car mon genou me dit « non », mais je termine ma course avec mon objectif atteint. Je suis content de moi mais j'aurai pu faire mieux sans cette douleur.

Je diminue l'intensité des entraînements sans pour autant stopper, j'ai vraiment mal mais je refuse le repos car j'ai pleins de courses en vue, je me dis que ça va passer avec le temps. Quinze jours plus tard nouvelle course en mode trail, c'est ce que je préfère, pour le 24km des Gueules Noires de Lévin, je cours mais je traîne la patte. J'ai toujours mal et la douleur s’accentue dans les montées et descentes. Je suis content de participer à cette course mais physiquement ça ne va pas. Je la termine en boitant légèrement.

Quelques jours plus tard je suis en vacances, nous sommes le 19 avril, je suis mon plan d'entrainements pour le marathon de la Route du Louvre à Lens ( 20mn de footing, 8x1000 avec 1mn30 de recup marche et 5mn recup). En fin de séance une énorme douleur dans mon genou droit. J'avais jamais ressenti ça et là je sais que ça ne passera pas avec le temps ! Je suis blasé, mon 1er marathon va tomber à l'eau, il faut que je me soigne rapidement si je veux y participer. Je laisse passer cinq jours, je n'ai pas mal en marchant, puis je vais courir avec ma chérie qui prépare les 10 km de la Route du Louvre, mais au bout de 15mn c'est affreux je souffre. Je termine la séance avec elle en mode canard boiteux, sans plaisir et avec une seule hâte rentrer. J'ai envie de pleurer tellement j'ai mal au cœur et là je me dis le marathon c'est mort !

Je suis en repos forcé mais c'est dure, alors je décide de faire du vélo car en pédalant la douleur est moins intense. Nous sommes le 5 mai, je rentre de ma sortie VTT au bout d'une heure et 20km avec le retour de ma douleur. Le lendemain direction le médecin que ne sait pas vraiment diagnostiquer ma blessure. Il me prescrit donc : arrêt total du sport (15 jours minimum), port d'une genouillère, anti-inflammatoire et un IRM. Seul sport autorisé la piscine, je suis dégoûté, de plus le médecin soupçonne que ce soit mon ménisque. Si c'est ça je suis dans la merde car je ne suis pas prêt de recourir ! Mais je n'aurai que les résultats dans 4 semaines après l'IRM.

Le temps passe et je suis assez triste d'assister à des courses sans pouvoir y participer. Trop envie de rechausser rapidement ma paire de baskets ! Je suis très énervé de ne pas pouvoir courir, ni faire du vélo, mais pas le choix si je veux venir rapidement. J'accompagne donc ma chérie sur ses courses qui me font saliver. Après avoir raté le marathon du Louvre voilà que je manque les 29km du Trail du Patois dans la foret d'Olhain. Je suis donc en mode reporter photos avec ma princesse sur le dos.

Après 4 semaines d'arrêt total de la course à pied je me sens beaucoup mieux, plus aucune douleur. Je suis hyper content je planifie ma reprise.
Nous sommes le 22 mai, je termine le travail à 15h30, il fait un soleil radieux. Cool une reprise sous le soleil, je vais enfin transpirer lol. De retour à la maison je m'empresse d'enfiler ma tenue de running, je suis tout excité à l’idée de reprendre le sport. 16H me voilà en tenue de combat, heureux, je suis bien, il fait beau. Je pars…
Les sensations sont bonnes, je suis bien, je trouve même que j'ai une bonne allure. J'ai chaud mais pas de douleur, cool.
Enfin, j'ai crié victoire trop rapidement, 10mn plus tard la pointe dans le genou revient, je me dis c'est normal c'est la reprise, mais 2mn après la douleur est revenue aussi intense qu'avant mon arrêt !
J'ai envie de pleurer, je me dis que la course à pied c'est fini pour moi, je retourne chez moi en marchant avec la boule au ventre. Résultat 2,5km en 12mn. Je me demande quand je vais pouvoir revenir et prendre du plaisir en courant.

Hé merde, déjà 2kg en plus sur la balance ! je ne cours plus, je fais plus de sport, je déprime alors je bouffe lol. Je ne peux pas rester sans rien faire alors je décide de tester le VTT avec ma chérie. J'ai simplement mal quand je cours, en marchant pas de douleur, donc à vélo il n'y a pas d'impact au sol ça devrait le faire. Nous voilà donc parti direction le parc d'Olhain, on décide de faire le parcours de 15km. Au total nous avons roulé 2h et parcouru 28km, et surtout je n'ai ressenti aucune douleur. Je me dis en attendant le VTT ça me convient !
Le lendemain IRM, bientôt le verdict.
Deux jours plus tard, sortie VTT de 33km en 2h20, toujours pas de douleur YESS !
Le résultat de l'IRM est tombée : Syndrome de l'essuie glace (TFL), plus particulièrement appelé tendinite du coureur sur le genou droit. Ouf ce n'est pas le ménisque, j'ai le droit à plusieurs séances chez le kiné.

Tête de mule comme je suis, huit jours après mon premier test course à pied je rechausse mes baskets pour voir la sensation. Cette fois-ci c'est sous la flotte, il pleut à verse, tout va bien jusqu'au 5° km où une petite pointe réapparaît. Je continue mon chemin, la douleur est là mais supportable, je marche et je cours. Bilan 9,5km en 55mn sans trop de plaisir car j'ai toujours mal.
Le 4 juin première séance chez le kiné, celui-ci me remet à la diète de course a pied, le vélo oui mais pas en forêt, que de la route. Je déteste la route lol.
Nous sommes le 7 juin, toujours en mode reporter avec ma princesse comme assistante. Encore un super Trail de manqué : les 31km du Trail des éoliennes. Un super cadre, j'ai les boules, il fait beau et le paysage est magnifique. Je suis ma chérie sur le parcours en voiture et m'installe à des points précis pour immortaliser son passage.

Les séances de kiné me font du bien (électrodes, crochetage, remise du bassin en place, massage du tendon). Avec l'accord du kiné, reprise progressif de la course avec un temps maxi de 30mn.
Le 15 juin je me sens pousser des ailes, aucune douleur alors j'envoie la sauce sous le soleil, je suis content 7km en 32'. J'augmente le kilométrage et baisse la cadence 3 jours plus tard, 10km en 52' sur un parcours plutôt montant. Pour éviter les répétitions j'alterne avec une sortie VTT le dimanche. Puis, je continue les entraînements à hauteur de 3 sorties par semaine sans trop forcer, je reprends la compétition en équipe sur les 6h de l'echo à Holain avec une nouvelle paire de baskets.
j'ai toujours un gêne au genou mais cela va mieux. À mon retour de vacances je m'entraine pour le Maratrail de l'Artois, celui-ci se passera sans douleur.
Nous sommes fin aout, je peux enfin reprendre l'entrainement sérieusement :-)
TO BE CONTINUED

Lui

Elle - l'augmentation des km en trail a aussi laissé des traces

Suite à une augmentation des kilomètres cette année et à mon premier ultra trail de 47km, j'ai moi aussi eu le droit à une tendinite au genou.
En début d'année j'ai effectué mon 1er trail de 17km, celui-ci m'ayant particulièrement plu, j'ai renouvelé l'expérience tout en augmentant les km : 17 - 24 - 29 - 33
Ne souhaitant pas être à l'arrêt comme mon homme, j'ai augmenté petit à petit en 6 mois, et à chaque fois je me reposais après course.
Suite à mon trail de 47km le 23 aout, j'aurai dû m’arrêter 15 jours, mais ayant des super courses courses fun prévues depuis 1 an, j'ai arrêté l'entrainement semaine mais j'ai fait ces courses le dimanche trois week end de suite.
Si j'avais à la base une légère douleur au genoux, j'ai terminé la dernière course en boitant.
Du coup je suis en repos depuis 15 jours, j'ai juste couru 20mn le week dernier quand même lol, et je retente 30mn ce week end, et si tout va bien l'entrainement semaine prochaine (je croise les doigts).
De plus, je n'ai prévu que des courses de 5km pour le mois d'octobre.

Elle

BREF SURTOUT ARRÊTEZ-VOUS VRAIMENT 15 JOURS SI JAMAIS VOUS RESSENTEZ UNE DOULEUR SUR LE CÔTÉ EXTERNE DE VOTRE GENOU !

mardi, septembre 15, 2015

Trail des Mimiles 2015

Trail des mimiles 2015

Récit du 25 km du Trail des Mimiles le 13 septembre 2015 à Houdain, et pour moi un an dans le monde du Trail ! Parcours à travers la vallée d'Houdain avec un passage dans le parc des Tourbières.

Détails de la course

Inscription : 

Inscription par courrier avant le 6 septembre 2015.
Pas de site web dédié : http://club.quomodo.com/artois-athletisme/accueil.html

Dossard :

À retirer le jour même. Par contre si vous n'êtes pas du coin et du club, difficile de trouver le lieu de départ et plus d'informations sur le web :-/
En cadeau : un tee shirt

Détails :

Libellé Type Commune Distance Dénivelé Tarif
Trail des Mimiles Trail Houdain 7-15-25km 160m 5-10€
Runner Chrono 2015
Lui 25km 2h15

Parcours 25km :

Parcours trail des mimiles 25km

Une seule boucle à travers la vallée d'Houdain. Départ au parc des Tourbières puis direction les sentiers de Beugin, la Comté, Diéval, Lathieuloye.

Résumé du 25km du Trail des Mimiles 2015

Lui - 25km

Météo : soleil
Mon équipement : short, 1 tee shirt, manchons bras, manchons mollets Booster, chaussures Salomon, montre avec chrono.

Peu de participants pour ce trail, il n'est pas assez diffusé et il n'y a pas assez de visibilité sur le web. 
Il y a 1 an jour pour jour je battais mon record de distance et pourtant je mets 8mn de plus que l'an dernier :-/

Départ prudent mais dès le départ je sens que je vais en chier.
Un départ dans l'herbe humide et fraîche pour ensuite regagner les chemins sinueux et les sous bois. Me voila sur la première difficulté, une belle montée sur route pour continuer ensuite sur une montée rocailleuse en plein champs. Le parcours n'est pas très technique et nous n'empruntons pas les chemins de l'an dernier. Cependant je constate que je manque de jambes car je n'arrive pas à suivre mon objectif fixé.

Je teste pour la première fois mes nouveaux amortisseurs Salomon sur cette course et là je me dis que c’était pas le bon moment, j'ai des ampoules sous le pied gauche qui me font mal.
Il y a une deuxième belle côte, je la passe relativement bien. Moitié en courant, l'autre moitié en marchant, car ne connaissant pas la longueur de cette côte ni la suite du parcours je reste prudent. Le tracé est très bien indiqué de part le marquage au sol, les pancartes et les signaleurs présents. On ne peut pas se perdre.

Je me sens bien mais les jambes un peu moins. J'ai chaud, j'aperçois Mr Burger pas très loin de moi. Mr burger c'est un trailer V1 qui court tous les Trails du secteur avec un chapeau en forme de burger sur la tête lol. Je veux me mettre à son niveau mais je sens que je manque cruellement d’énergie. A ce moment là personne n'est derrière moi.
Au 17eme km gros coup de mou et je me fais doubler à tour de rôle. La musique aux oreilles je sens de nouveau tonton qui me tape sur l’épaule et qui me dit de nouveau "T'es encore parti trop vite, la prochaine fois tu pars avec moi !". Là je suis blase ! J’étais bien placé et je me retrouve dans les derniers et en plus je suis cuit !

Ma motivation diminue mais je ne lâche rien, je marche, je cours et ainsi de suite.
Je trouve le parcours sympa, on passe par des petites chemins, routes, sous bois et même en plein champs dans des hautes herbes. On termine la course dans les bois en passant le long d'une rivière et en courant sur un pont en bois, pour terminer par une longue et interminable ligne droite.

J'ai eu l'agréable surprise d'avoir des supporters en fin de course. Mes chéries sont venues me booster et j'ai terminé main dans la main avec ma petite fille d'amour qui était super contente et fière de franchir la ligne d'arrivée avec son papa. À ce moment là tu es super fier de vivre ce moment.

Pour faire le bilan de mes dernières courses je peux m'apercevoir que je dois reprendre sérieusement l'entraînement fractionné et l'endurance. Je dois apprendre à gérer mon effort, faire un démarrage prudent. Je compte multiplier les courses jusque fin d'année pour augmenter mon volume d'entraînements. Les résultats seront pour 2016, là je vais avaler du kilomètres et de l’expérience. Et comme je dis toujours le plaisir avant tout !

Lui

Photos

lundi, septembre 14, 2015

Trail des terrils nocturne de Loos en gohelle 2015

Trail des terrils Loossois nocturne

Récit du Trail des terrils nocturne du 12 septembre 2015 à Loos en gohelle, ma première course de nuit avec lampe frontale. Super ambiance, paysage et jeux de lumières magnifiques !

Détails de la course

Inscription : 

Inscription par courrier ou sur place.
Pas de site web dédié : http://www.loos-en-gohelle.fr/

Dossard :

À retirer le jour même.
Lampe frontale obligatoire.
En cadeau : un pot de miel, un sandwich, photo souvenir

Détails :

Libellé Type Commune Distance Dénivelé + Tarif
Trail des terrils Loossois Trail Loos en Gohelle 7,5-15km 420m 8€
Runner Chrono 2015
Elle 15km 1h50

Parcours 15km :

parcours trail loos 2015
2 boucles à travers les chemins boisés, rocailleux des terrils de Loos en Gohelle.
Ascension du plus haut terril d'Europe, départ arrivée à la fosse du 11/19 (monument historique minier).
Label départemental de course montagne.

Résumé du 15km du Trail des terrils Loossois nocturne 2015

Elle - 15km

Mes entrainements 15 jours avant (avec 20' d'échauffement avant et 10' de recup après + gainage, étirements) :
  • aucun
Météo : ciel nuageux
Mon équipement : Baskets Asics Trail, caleçon long, 1 haut manches longues, ceinture avec gourdes (boisson d'effort maison), Mobile + Runstatic, montre avec chrono.

Depuis mon maratrail de 47km j'ai arrêté l'entraînement semaine mais j'ai fait successivement la Troll et la Charrette. Même si c'est des courses fun il y a quand même une dizaine de kilomètres à parcourir dans la nature. J'ai une douleur sur le coté droit du genoux qui persiste, je sais que je devrai m'arrêter 15jours mais j'ai trop envie de courir mon premier trail nocturne.
Une copine décide le faire avec moi, une première pour elle aussi.

On se rend donc à la base de la fosse 11/19, un peu de pluie sur la route mais finalement pas de pluie durant la course. Arrivée sur le site je me souviens de cet endroit, c'est l'arrivée de la Route du Louvre.
J’espère que notre inscription par courrier et ok car aucun mail, liste d'inscrits :-/. Finalement aucuns soucis.
Pour une fois qu'il n'y a pas de tee shirt j'en aurai eu bien besoin, il ne fait pas si froid ce soir et il ne devrait pas pleuvoir, je risque d'avoir chaud avec mon haut manches longues.
On s'échauffe 10mn et on se place sur la ligne de départ. Une personne parle au micro, première fois que j'entends autant de bla bla avant une course, en plus c'est peu audible lol.
Il fait encore jour mais 10 mn après le départ il fait nuit noir, on s'enfonce dans des chemins boisés, ou seulement un coureur peu passer.
Puis les premières montées apparaissent, au fil du chemin je suis étonnée de voir des lumières colorées sur le parcours, c'est magnifique cette ambiance et ce paysage. Je vois au loin les premiers qui grimpent le sommet du terril. Avant d'y arriver il y a une longue montée sur une route large et rocailleuse. J'y vais calmement en pensant juste à lever mes genoux et regarder le sol, je motive ma copine qui s'arrête pour marcher. Puis vient le premier ravito et la montée du terril.

Arrivée en haut on attend quelques minutes pour pouvoir faire la photo souvenir. Le temps d'admirer le paysage magnifique avec la ville au loin éclairée et les lampes frontales des coureurs sur le terril.
Puis c'est la descente, j'y vais doucement et j'essaie de faire attention mais la douleur à mon genoux revient, j'espère que cela ne deviendra pas insupportable.

Des chemins sinueux façon montagne russe se succèdent.
Tout au long du parcours ma copine et moi on s'appelle respectivement pour savoir si l'autre suit.
Une montée et ensuite on retourne vers la ligne de départ pour un deuxième tour. On passe la ligne en 55mn, je sais donc que l'on mettra un peu moins de 2h pour terminer la course.
On sait maintenant ce qui nous attend, et je ne m'attendais pas à autant de dénivelé. La douleur est gérable mais un peu handicapante.

Nous revoilà parti pour une deuxième montée de terril et une deuxième photo souvenir lol.
La descente est douloureuse, j'essaie de m'accrocher pour ne pas perdre de vue ma copine, je sais que le plus dur est fait. Elle s'éloigne petit à petit, cela devient plus dur à visualiser le parcours avec pour seule lumière ma lampe frontale, un coureur me passe devant ça m'arrange, je le suis mais ce dernier se détourne du chemin, je décide donc de repasser devant et j'entends plusieurs coureurs derrière moi. Des hommes qui se laisse guider par une femme mdr. Après la dernière montée j'accélère le pas pour essayer de rattraper ma copine, je sens qu'un coureur me suit. Celui-ci me double 1km avant la ligne d'arrivée mais je sprint sur les derniers 100m et passe la ligne devant lui, 30 secondes après ma copine. Par contre des que j'arrête mon genoux est très douloureux et je boite. On se demande comment j'arrivais à sprinter quelques secondes avant lol.
On rentre dans la salle pour récupérer notre sandwich et notre pot de miel et on regarde les résultats. Il n'y avait que 15 filles sur 230 participants. On boucle cette course en 1h50.
J'ai adoré cette ambiance nocturne, le temps est passé super vite, tout nos sens sont en éveil, à refaire !

Elle - Une runneuse transformée en luciole

Photos

trail nocturne loos 2015

 

mardi, septembre 08, 2015

La Charrette du diable 2015

La charrette du diable 2015

Récit de la Charrette du diable du dimanche 6 septembre 2015 dans les terrils Auchellois. Une course à obstacles sur un parcours rocailleux où tous les éléments sont réunis pour passer un super moment : boue, eau, mousse, saut de 8m, ambiance…

Détails de la course

Inscription : 

Inscription en ligne ou par courrier
Site web : http://lacharrettedudiable.fr

Dossard :

À retirer la veille ou le jour même.
En cadeau : un tee-shirt

Détails :

Libellé Type Commune Distance Dénivelé Tarif
La Charrette du diable course obstacles Auchel 13km ? 35€

Parcours 13km :


Parcours rocailleux avec la montée du terril d'Auchel, une carrière, un saut de 8m (dangereux, beaucoup de blessés chaque année).
Jeux gonflables, animations, douches, consignes, possibilité de manger sur place (achat de jetons) et de faire une photo de groupe.

Résumé de la Charrette du diable acte III !

Lui

Météo : nuageux
Mon équipement : Baskets Asics Trail, gants VTT et un déguisement. Il y a plusieurs passage dans l'eau donc évitez de prendre votre téléphone, montre non étanche… Par contre des genouillères peuvent être utiles.

Nous avons enfilé notre costume pour le plaisir et la déconnade. Même les adultes adorent se rouler dans la boue et sauter dans des trous d'eau, le tout dans une ambiance de carnaval. Par contre on a un peu froid avec le peu de vêtements que l'on a sur le dos lol.
On pose pour la photo souvenir et on se dirige vers le sas de départ.
On commence par un échauffement en musique, il y a une super ambiance comme chaque année.

Comme l'année dernière on commence par des zig zag dans un champs avec du dénivelé montant et descendant. Par contre un peu déçu qu'il n'y ai pas les jeux gonflables et que les obstacles se font rares en début de parcours.
Il y a bien sur toujours la montée du terril et son superbe panorama. Ma chérie souffre dans la descente avec sa douleur au genou qui s'est intensifié depuis le Maratrail.

Moi j’étais super en forme jusqu'au saut de trop !
Tu es vite pris par le truc et tu oublies vite que tu peux te blesser dans ce type de course.
Et c'est tout à fait ce qui c'est passé.
Sur la fin de parcours des beaux trous de boue : le premier tu y vas doucement car tu as un peu d’appréhension; le deuxième tu y vas plus franc et le troisième tu prends trop la confiance.
Après avoir bien pris mon élan, je me lance violemment jambes serrées pour un saut spectaculaire, sauf que ce trou là n'avait pas de fond, contrairement au deux autres !
Résultat CRAC, le genou n'a pas supporté l'impact et j'ai morflé. Grosse douleur au genou droit qui était quasiment guérit :-/
Là je suis dégoûté, ni une ni deux je tente de le remettre en place immédiatement en mettant tout mon poids sur mes genoux et j'ai très mal.
Je termine la course en mode boitage et en fin de course à l'infirmerie pour y ressortir avec une attelle au genou. Je m'en veux d'avoir fait le con et j’espère que ça ira mieux dans les jours prochains.

Lui

Photos 

mercredi, septembre 02, 2015

Troll X'Trem Run 2015


Récit de la Troll Xtrem Run du samedi 29 aout 2015 dans les Ardennes belges. Une course à obstacles sur un parcours boisé où tous les éléments sont réunis pour passer un super moment : boue, eau, mousse, Troll…

Détails de la course

Inscription : 

Inscription en ligne en fin d'année, il faut être rapide car les 3500 places partent en 1h !
Attention la course est un samedi, pas top pour ceux qui travaillent dans le commerce :-/
Par contre 2 fois moins cher que la Frappadingue et les obstacles sont beaucoup mieux !
Site web : http://trollsxtremrun.com/fr/

Dossard :

À retirer la veille ou le jour même.
En cadeau : un tee-shirt, un verre à bière Troll pour les finisher

Détails :

Libellé Type Commune Distance Dénivelé Tarif
Troll X'Trem Run course obstacles Beloeil 17km ? 30€

Parcours 17km :


Parcours boisé, légèrement vallonné dans la forêt de Stambruges et de Beloeil en Belgique. Plusieurs passages dans un canal et aussi dans une ancienne carrière (nouveauté 2015) avec des Trolls sur le parcours.
Jeux gonflables, animations, douches, consignes, possibilité de manger sur place (achat de jetons) et de faire une photo de groupe.

Résumé de la TXR4 !

Elle

Météo : soleil 
Mon équipement : Baskets Asics Trail, gants VTT et un déguisement. Il y a plusieurs passage dans l'eau donc évitez de prendre votre téléphone, montre non étanche… Par contre des genouillères peuvent être utiles.

Le grand jour est arrivé, un an que l'on attend de pouvoir participer à cette course folle.
Comme d'habitude nous nous y prenons un peu tard pour terminer notre déguisement mais le jour J nous sommes prêts, le temps est magnifique.
Sur la route les conducteurs que nous croisons se demandent s'ils sont bien réveillés lol.
Pas de difficulté particulière pour trouver Stambruges et une place sur le parking ou plutôt le champs de blé coupé.
Il nous faudra 15mn à pieds pour arriver au village et au retrait des dossards. Puis nous prenons quelques minutes pour la photo souvenir.
On apprend qu'il faut acheter des jetons (jaune ou rose) pour pouvoir régler nos achats divers (boissons, photos, repas). Je découvre avec plaisir qu'il n'y a pas que des frites (un peu lourd à digérer pendant la course), je prends donc une bonne dose de pâtes avec de la sauce bolognaise et du fromage.
On s'attable sous le chapiteau prévu à cet effet, l'ambiance est quand même moins festive qu'à la Frappadingue ou la Charrette du diable. Il y a certes un DJ, des bénévoles en Troll ou sorcier, mais beaucoup de coureurs ne sont pas déguisés et pas très festifs.
Par contre certains n'hésitent pas avec l'apéro whisky, perso je me vois mal courir avec ce type de boisson. Même si c'est une course fun, il y a quand même 17km à parcourir, des obstacles et des passages dans l'eau.

Après ce repas et quelques photos souvenirs, on dépose nos sacs à la consigne extérieure et on se rend vers la ligne de départ qui se trouve à 20mn à pied du village. Je trouve cela un peu long et cela joue sur l'ambiance du village.
Je m'attendais aussi à plus d'ambiance dans le sas de départ.
On se lance dans la forêt de Stambruges et vers le 1er obstacle : ramper dans le sable sous une grille.
Il n'y a pas comme dans les autres courses des montées et descentes infernales pour distiller le groupe et c'est pas plus mal lol. Ce n'est pas pour autant qu'il y a des bouchons aux obstacles, ceux-ci sont bien répartis et étudiés.
On arrive dans une ancienne carrière et sur un terrain accidenté et vallonné, avec quelques descentes en cordes, j'ai beaucoup aimé cette partie du parcours.
Puis on s'élance de nouveau dans les chemins boisés parfois boueux (il a plu toute la semaine).
Les obstacles sont assez variés, on ne s'ennuie pas : filet dans les arbres, mousse, toboggan, eau, boue, électricité, tube, saut dans le canal…
Il y aura 2 ravitos sur le parcours, avec du liquide et du solide, simple mais efficace !
L'un de mes équipiers commence à flancher physiquement : la course, les obstacles, les crampes ralentissent sa course. Et oui cela reste une course assez physique, l'une des plus longues courses à obstacles, officiellement 14km, mais chaque année quelques kilomètres viennent s'ajouter, du pur plaisir pour ma part.
Nous rencontrons notre 1er et seul bouchon lors du passage "planche sur l'eau".
Les obstacles "eau" arrivent vers la mi-parcours, cela permet d'être au sec durant un bon moment.
Je ne vois pas le temps passer, ni les kilomètres.
J'ai adoré la partie toboggan dans la mousse, le saut dans le canal (attention aux pertes d'accessoires lol), le paysage magnifique de cet forêt.

Après 3h20 de course nous arrivons à l'arrivée dans le village, mon équipier n'en peut plus et il est pris en charge rapidement. Après quelques étirements il est de nouveau debout et nous pouvons déguster notre cuvée de Troll dans un superbe verre créé pour l'occasion.
J'apprécie aussi les gaufres liégeoises au ravito final :-)
On récupère nos sacs à la consigne et direction la douche (en salle pour les femmes et sous une tente pour le hommes). Bien prévoir un sac poubelle pour les affaires salles, des tongs et une tenue facile à enfiler car le sol est boueux même dans les vestiaires. Ainsi qu'un gant de toilette pour se récurer la peau !
En fin d'après midi un concert est prévu mais nous ne tardons pas car nous avons 1h30 de route, heureusement c'est pas moi qui conduit lol !

Photos 

troll extrem run TXR4 2015